Lascars

Film d'animation français d'Albert Pereira Lazaro et Emmanuel Klotz avec les voix de Vincent Cassel, Diane Kruger, Diam's

la bande-annonce

Petits boulots et grands délires pour raconter les occupations d'une bande de jeunes de banlieue privés de vacances.

La presse encense les trouvailles comiques, le graphisme, le rythme et l'inventivité du scenario :

Citation :

A mi-chemin entre une bande dessinée de la revue Fluide glacial et un néoréalisme revisité à la sauce banlieue, il frappe d'abord par l'originalité de son graphisme, qui fait évoluer des personnages souples et toniques comme des danseurs de hip-hop dans des décors crayonnés, mais extrêmement précis et réalistes, qui rendent compte de manière quasi documentaire de l'urbanisme des cités de la périphérie.

le Monde, tout l'article

Citation :

A la comédie et l’animation se mêlent des graphiques innovants et une bande originale réalisée par une figure du hip-hop français : une recette qui pourrait bien avoir du succès. Chez les grands comme chez les plus jeunes.

Toulouse 7, sensible à un "langage lascar" qui"défrise".

Conclusion du Monde :

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Des dialogues aux décors, des acteurs à la musique (supervisée par Lucien Papalu, elle comprend un morceau original des rappeurs américains De La Soul), chaque élément du film est une réussite, et l'ensemble fonctionne au poil.

Libé réservé sur les lascars

Citation :

les Lascars sont la parfaite illustration [de la fracture sociale], résolument caricaturale au point qu’elle suscitera pour les mêmes raisons l’hilarité chez les uns et la perplexité chez les autres.

Citation :

on retiendra du récit (entre pause repas au kebab, intrusion intempestive sur un tournage porno et explosion de la fosse septique - dormez tranquille, vénérable Miyazaki !) que chez ces Pieds Nickelés du XXIe siècle, on rêve très fort de confort bourgeois, les schmidts sont des abrutis imbibés, le méchant dealer s’appelle Zoran et le fantasme sexuel culmine dans une relation avec une fliquette nymphomane.