J'irai dormir ... (Doc)

J'irai dormir à Hollywood...

Il s’appelle Antoine de Maximy et sa devise pourrait être : « Quand rien n’est prévu tout est possible ! ». Il pourrait ressembler à n’importe quel routard s’il ne portait pas trois caméras en permanence. Deux d’entre elles sont même fixées sur lui.
Il s’appelle Antoine de Maximy et a décidé de conquérir les États-Unis : ses routes à perte de vue, ses paysages grandioses, ses mythes en cinémascope, ses villes immenses, ses communautés, ses stars hollywoodiennes, ses anonymes…
D’Est en Ouest, notre voyageur filmeur prend la route. À pied, en stop, en taxi, en bus, à vélo et même… en corbillard ! New-York, Miami, la Nouvelle-Orléans, Las Vegas… En ligne de mire : Hollywood où il espère se faire inviter chez une star pour la nuit !
Au hasard du chemin, il va croiser des hommes et des femmes, chacun révèlera sans fausse pudeur, une part de lui-même.
Tous ces portraits dessinent un visage aussi touchant que surprenant des États-Unis.

Avant tout, j'adore ses émissions Télé depuis ses premiers débuts sur une case de Canal+. Je l'ai souvent suivi au travers ses voyages, ses aventures à travers le monde.

Il est souvent touchant, et sait mettre en valeur l'humanité du monde. Si les générations futures devaient apprendre comment nous vivions à notre époque, le plus simple serait de leur montrer ses documentaires.

Il est juste, bon, tout simplement humain, lui aussi ; comme les gens chez qui il s'invite pour dormir un soir, à l'abri dans une case africaine, une capsule tokyoïte, une yourte de Mongolie, un appartement à New-York ou un Chalet en suisse...

En fait, je crois qu'il représente la vie que j'aurais aimé avoir. Partir loin, voyager, apprendre et découvrir les gens en même temps que les paysages.

A défaut de pouvoir voyager comme lui, voilà le site :

J'irai dormir chez vous

Voyez le diaporama.

dormir ou la fin du rêve ?

Citation :

Sa traversée du ghetto noir de la Nouvelle Orléans, sa rencontre avec des Indiens, qui vivent sans électricité et sans travail ou la nuit qu’il passe avec un sans-abris sur une plage de Los Angeles sont des moments inoubliables, qui, à l’heure de l’effondrement progressif de l’économie américaine, nous rappellent, qu’au-delà des productions hollywoodiennes, pour beaucoup d’États-Uniens, le rêve américain, justement, ce n’est qu’un rêve

source : à voir à lire.