La Linea, qui relie Almeria à Bogota, raverse la Colombie comme un"trait de bitume entre l'enfer et le paradis";
le sauveur de la linea.clic !
avec de fortes pentes et de grandes tentations..
Dans la descente de la Linéa, d'étranges petits chariots descendent à fond sans freins, ils frôlent des camions monstrueux et jouent avec la mort à chaque instant.
Les gamins cherchent à survivre par le vol et des sabotages qui profitent au garagiste du coin (
le sauveur de la linea) s’ils envoient les voitures dans le décor.
C’est tout un monde marginal qui s’agite, avec des élans de pitié et des coups tordus, avec des visages parfois grimaçants et des couleurs violentes.
On y joue la vie à pile ou face, la sienne, et aussi celle des autres.
Les effets violents me paraissent assez réussis mais je regrette une certaine froideur des personnages.