J’ai dans les narines comme une odeur de femme, le genre femelle humaine, une qui est de ma sorte…. Elle était d’un type de beauté qui laissait croire que le créateur est un singe. La voûte étoilée quant à elle, berçait le ciel. Les particules humaines dormaient dans un petit songe que le maitre singe appelait je ne sais pour quelle raison « univers »
Je n’arrivais pas à dormir puisqu’il y’en avait trop de monde, trop de particules, trop de bassesse dans ce rêve. « Je passe la journée à faire chier les gens, et ils passent la nuit à me torturer » me dis-je pour me réconforter. L’odeur fécondatrice de la chose qui ronflait à coté de moi m’étouffait, j’avais du mal à respirer, du mal à réfléchir, j’avais du mal à vivre……. Je fais quelques pas vers ma fenêtre, je l’ouvre et je saute…….. Je ne suis pas mort parce que je suis éternel, bordel de dieu de merde je suis immortel.
On s’attend à ce que je raconte une histoire, mais je ne le ferai pas bien sûr. à quoi bon créer des personnages, des chaises, des murs… ? Mais comment peut-on raconter l’éternité, comment décrire l’infini ? Suis-je si petit ?
Oh cause naturelle qui fit tout, qui créa tout pour elle même. Oh vanité d’un paresseux qui pour son divertissement fit monde. Oh criminels de tout temps j’implore absolution…..
Guignols farceurs, pitres et bouffons, lumière obscure dans laquelle baigne ce jour, Je veux la mort.