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 Vouloir aider et pouvoir aider...la difference est de taille

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3 participants
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Drella
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Drella


Nombre de messages : 98
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Date d'inscription : 30/08/2010

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MessageSujet: Vouloir aider et pouvoir aider...la difference est de taille   Vouloir aider et pouvoir aider...la difference est de taille EmptyJeu 20 Jan 2011, 01:11



Bonjour a tous, je vous ecrit ce soir pour vous confier mes petits soucis de ces derniers jours, sous forme de nouvelle mal ecrite et d'arrangements d'idees.


Me savant gay, une copine en soif de decouvrir son penchant pour les filles, et qui voulait absolument sortir me dit qu'elle aimerait bien sortir dans un bar gay.

Alors l'idee m'ayant percutee, je me suis dit oui, coup double : ca fait longtemps que je suis pas alle dans un bar gay, et je vais pouvoir l'aider un peu concernant ses propres questionnements sur sa sexualite, ayant l'experience du "je suis hetero et je deviens homo".

La soiree se passe, plutot bien par ailleurs, puis je la ramene chez elle en lui disant attention, t'accroche pas trop a moi, c'etait un moment sympa et peut-etre qu'on ne se reverra plus ensuite.

Arrives devant chez elle, elle me dit ne pas vouloir dormir, alors je me dis "allez, on cause encore un peu et je rentre chez moi."

On cause, et puis je la ramene devant chez elle. "Je veux pas rentreeeer" insista-t-elle, et moi "j'ai faiiiiim" et hesitant a rentrer chez moi, tente malgre tout de creer l'ambiguite avec cette fille.

Alors on entre chez elle, sa mere est la, on mange rapidement, elle me montre quelques betises sur FB, sa mere va se coucher, et on commence a etre tres fatigues.

"Je prend le fauteuil" dis-je d'un air mal assure, elle me repond "je veux pas dormir seule" et la commencent les emmerdes.

Finalement, le fauteuil pris, je me relaxe, on rigole, elle se rapproche un peu, puis un peu plus, je doute de ce qu'elle veut, de ce que je veux, je sais que ca va mener a une situation ambigue, absurde et genante.

De fil en aiguille, la lumiere s'eteint, elle s'etend sur le tapis, on cause de tout, de rien, on rit, on doute, on reve de choses differentes mais qui nous rapprochent.

Alors je tombe gauchement du fauteuil, et nos corps, en faux-innocents parfaits, se rapprochent encore, et encore un peu, et un peu plus, jusqu'a se toucher.

On discute encore, on rit, on dit que tout ca c'est "bizarre", on le repete encore, mille fois repete, et puis elle pose sa tete sur ma poitrine, et je ne sais que faire de mes mains.

De vieux fantasmes me traversent l'esprit, violents et mous en meme temps, comme une furieuse envie de lui petrir les fesses, qui aussitot venue s'en va alors.

Du temps passe. Je parle des hommes, elle parle des femmes, je suis a la fois decu et heureux qu'elle appartienne a l'autre sexe...je lui dis que c'est dommage qu'elle ne soit pas un homme, je l'aurais surement aimee toute une nuit, pleinement, simplement, abondamment, j'aurais meme peut-etre pu gouter a son nectar et elle au mien, on se serait aime, quoi, c'est tout.

La tension de l'ambiguite alors trop dense, s'intensifie, et je sais qu'il faut que l'on passe par le physique pour la faire disparaitre.

Je commence a lui toucher le ventre de ma main gauche, puis, avec son accord, je baise son ventre un peu, ma main semble animee d'une tendresse affolante pour un corps tellement intouchable que celui de cette femme...je continue mes caresses, mes baisers doux, elle avait enleve son soutien-gorge peu avant, je remonte tout doucement, passe ma main entre ses seins, atteint son cou, puis trouve son sein gauche, puis son sein droit, et les caresse, les caresse, les caresse d'une douceur infinie.

Je souleve alors son t-shirt de sommeil, celui avec qui elle pensait dormir avant de se coucher tout contre moi, et mes levres humides, ma langue se mettent a lecher amoureusement son teton qui alors se durcit, je le suce, le leche, le suce encore a deux reprises lentement, je le goute lentement et avec ferveur, curieux de la sensation que cela me procure, comme la plus pure douceur, comme un fantasme assexue qui indigne mon sexe interdit, au repos, et parfaitement impassible sous son refuge blanc.

Voila. C'est fait. 3 ans et 2 mois que je n'avais touche de femme, reellement, avec sa complicite entendue, sans malaise, sans gene reelle, elle s'etait laissee goutee par ma bouche, caressee langoureusement par mes mains, et c'etait tout.

Elle m'a dit alors que c'etait un amour maternel qui m'attirait chez les femmes, que ce n'etait que de la tendresse, comme une douceur incomprehensible.
Je lui ai alors dit que c'etait probablement cela, qu'elle avait raison, j'ai rajoute qu'il n'y avait rien de sexuel la-dedans, que c'etait une experience presque mystique, de toucher un corps qui ne nous procure pas d'excitation particuliere, une fascination etrange pour le non-sexuel, le non-excitant, que la situation me faisait penser a mes amours feminins qui n'ont jamais fonctionne, de vieux fantasmes qui n'avaient ni queue, ni tete. Je touchais le fantasme mort-ne de mes doigts, de mes levres, de ma langue. Rien.

Seule son coude pres de mon sexe le faisait se tremousser un peu. Mais elle ne l'a pas empoigne. Elle n'osait pas. Elle ne voulait pas ? C'etait etrange.

Le lendemain, apres 3 heures de sommeil, j'ai compris plus clairement mon erreur, elle moins, plus naive peut-etre, plus jeune, ou simplement plus detachee.

Je me suis rhabille en trainant, quelque chose dans cette ambiguite me retenait encore a elle, je savais qu'il fallait s'en aller, la bise, et j'etais dans ma voiture.

Le probleme etant, hormis l'experience du corps, je me suis dit que je pourrais l'aider a avancer, a grandir, a s'affirmer dans son homosexualite latente et qui ne demandait qu'a s'exprimer.

C'etait comme un engagement envers moi-meme, pris des le soir d'avant, je me voulais mentor, grand-frere, protecteur, pris avant meme de la connaitre.

Alors je lui ai envoye un message, lui donnant le nom de quelques films qui pourraient lui faire comprendre dans quelle situation elle etait, tiraillee entre son copain et ses desirs de femmes, lui expliquant qu'il fallait qu'elle se preserve du temps pour elle, pour reflechir, pour sortir egalement entre filles si elle le desirait, qu'elle prenne egalement ses distances avec son copain qu'elle trouvait trop etouffant, toujours la, a lui coller au corps, de la glue dans l'esprit, du brouillard voilant la verite. D'autres banalites sur la vie, savoir se proteger des autres, mais surtout se preserver, savoir gerer son temps a soi, equilibrer vie familiale, privee et travail, ne pas tout melanger, etc.

Et j'ai du recommencer a lui expliquer subtilement de me contacter uniquement en cas de besoin.

En somme, je voulais deja m'enfuir. M'enfuir vite, de la situation que j'avais creee. L'ambiguite. Le mentor. Ces conneries. Tout.

Le lendemain elle me repond, "chouette film" et je lui dis que oui, et puis je file.

Le surlendemain, j'ai recu 3 sms "t'es trop chouette" "je sais que je devrais pas te le dire mais t'es un mec gentil" et certainement un autre de la meme teneur.

Effraye, je la met en garde "ne t'attache pas a moi, sois distante, ne te fais pas d'illusions".

Elle le prend a moitie serieusement, et puis voila.

Nous voila sur le chat de FB, son copain l'emmerde, il veut aller avec elle a son cours de sport de self-def, pour ne pas qu'elle touche d'autres gars, pour les surveiller, la surveiller, elle ne veut pas, mais elle n'ose pas le lui dire.

Je lui dis "apprend a dire non, a te detacher de lui, a lui faire comprendre que tes activites sont a toi, qu'il doit respecter ca, te faire confiance si il t'aime vraiment."

Alors elle fait une tentative, et puis je lui dis que c'est deja bien, et puis je lui dis a bientot.

Le soir je craque, psychologiquement cette histoire de bienfaiteur me rendait fou, je me trouvais tout a coup responsable d'une nana toute entiere que je connaissais a peine, et j'avais l'impression de m'etre engage a vie, d'avoir tout a coup une importance demesuree pour elle, de m'etre presente comme un sauver absolu, et eternel.

J'ai du lui envoyer un sms lui disant que je devais couper les ponts, que je n'etais pas capable de l'aider plus, que quelque chose me genait absolument, m'effrayait meme, et que j'etais navre de tout cela.

Elle m'a repondu, m'envoyant me faire foutre, salope, egoiste, ecrivit-elle.

Plus tard un autre dans le genre, puis deux autres d'excuse.

Ca me travaille. Je ne lui ai pas repondu, cela ne servait a rien.

Ca continue de me travailler. Je lui ecris un message desespere, rempli de culpabilite, de malaise, de sentiments etranges et inhabituels, de gene absolue, de culpabilite toujours, j'etais desole, desole pour le mal que je lui avais cause. Que j'etais immature et que j'aurais jamais du monter chez elle, que j'ai ete faible.

Elle me repond, elle s'excuse pour les insultes, de m'avoir retenue un peu chez elle, que je l'ai fait avancer dans la relation avec son copain, puis elle me dit que ma reaction de cassure est immature et faible, etrange meme, elle me dit que je l'ai decue...

Je lui reponds avec un sang plus froid et plus fier que finalement, elle n'avait que du positif a retirer de tout cela, les conseils, tout le bordel, et qu'elle ne devait pas m'en vouloir, mais simplement oublier et positiver la chose...

Et nous voila maintenant. Desole si le texte etait un peu long, lourd, et pas forcement bien ecrit.
Je pense qu'elle va me repondre un peu exasperee, et qu'elle va m'envoyer chier d'une facon ou d'une autre, et puis je me retiendrai de lui repondre ferocement, et je la bloquerai, et que plus tard, si un jour on se recroise, qu'on aurait oublie, ou que j'aurai simplement honte, ou serai haineux de son manque de gratitude. Apres tout, j'ai voulu l'aider, puis mon corps me l'a formellement interdit.

Nous voicis revenus a la quesion initiale : peut-on aider seulement quand on le veut ?

Je ne crois pas. Me concernant, l'idee de depart etait magnanime, aidons-la et rentrons chez nous.

Mais j'ai pas pu. Comme si je lui promettais des montagnes et que je pouvais pas tenir mon engagement.

Je ne pouvais faire autrement que vouloir couper les ponts, comme si quelque chose de trop fort nous reliait, alors que ce n'est que chimeres et fantasmes.



Je pense que c'est du au fait que j'ai toujours l'impression que les gens s'attachent trop a moi, et j'ai surtout peur de blesser. On me dit gentil mais je pretend le contraire. J'essaie d'aider, de m'attacher meme, mais c'est un chateau de cartes qui s'ecroule dans la seconde.

Je n'avais pas les epaules pour l'aider. Je me suis presente comme un sauveur, mais je n'ai pas pu me detacher emotionnellement des complications que ca pouvait engendrer : elle qui s'accroche trop a moi, moi qui suis indifferent.

Ca me rappelle toujours ma premiere copine, j'avais l'impression de porter la responsabilite de son bonheur sur mes epaules, alors meme si je ne l'aimais plus, j'avais essaye de me convaincre que je l'aimais encore, de la convaindre elle aussi, et j'ai passe 7 mois a faire une depression parce que je ne comprenais pas pourquoi je ne l'aimais plus comme avant, j'essayais pourtant, mais quelque chose s'etait brise.

Et je ne me suis jamais senti autant coupable de ma vie. J'ai pourtant essaye, l'idee etait altruiste, je voulais pas qu'elle sombre alors je lui disais que je l'aimais, et pendant 7 mois j'en ai bave.

C'etait ma premiere depression. Et aujourd'hui encore je ressens le poids de cette culpabilite sur moi. Je me suis considere comme un menteur, et comme qqn qui lui faisait du mal sans le vouloir, pendant 7 mois. J'ai culpabilise a mort, on peut dire.

Je me sentais si mal qu'un jour j'ai pense a me jeter sous une voiture. C'etait la premiere fois que je me rendais compte que je pouvais avoir de l'importance pour une autre personne, que l'on pouvait souffrir a cause de moi, que c'etait dangereux de s'attacher aux gens, pour eux, comme pour moi.

Avec le temps j'ai appris a avoir un "coeur de pierre" contredisant ma facon de vivre qui est d'essayer de montrer un visage joyeux, de repandre la bonne humeur autour de moi, et de surtout me faire aimer de tout le monde, et d'etre agreable avec tout le monde, et d'eviter ainsi tout conflit, conflits qui me rendent nauseeux et emotionnellement instable.

Tout ceci est evidemment lie a la relation froide et conflictuelle et difficile que j'ai eu a mon pere, et aux nombreuses disputes entre mon pere et ma mere jusqu'a ce qu'ils se separent quand j'avais 13 ans.

Depuis, je ne m'attache pas aux gens, je cherche meme a eviter de rester trop longtemps a discuter avec eux, je ne suis pas souvent a l'aise avec tout le monde, et puis les gens ne m'interessent pas de facon generale, c'est plus clair comme ca. Ils sont tres rares en tous cas, ceux que j'estime et que j'apprecie.


Je crois que je n'ai pas envie d'etre responsable du malheur des autres, l'idee de blesser quelqu'un me rend dingue, et c'est ce qu'il s'est passe avec cette fille, je me suis senti responsable de son bien-etre, mais ce poste ne me correspondant pas, je me suis fait des idees sur l'attachement qu'elle pouvait eprouver pour moi, alors au lieu d'emmener la relation plus loin, j'ai decide de casser, quelque chose clochant fortement et inlassablement dans la cloche qui me sert de cerveau.

Je sabote tout avant que les choses n'aillent trop vite ou trop loin, pour moi comme pour l'autre.

Bref, desole pour ce mauvais romain trop long et trop peu clair, mais je patauge dans ma galere et mes nuits deviennent insoutenables, j'ai la cervelle en ebullition pour des raisons qui m'echappent totalement. Je devrais m'en foutre et tourner la page, mais je cherche je crois, dans ces excuses minables que je donne a cette fille, a ne pas me faire desaimer, a redorer mon image pour qu'au moins elle ne m'en veuille pas, mais surtout il ne faut pas qu'elle s'attache a moi, c'est dangereux pour elle.

Je reviens en rampant m'excuser sachant le jour d'avant que ma demarche etait somme toute partie d'une bonne idee, mais que je devais cesser car je n'ai pas les epaules pour m'occuper d'une personne que je connais a peine, et apres elle m'engueule, puis s'excuse...j'aurais du en rester la...quelque chose cloche.

J'avais juste envie d'en parler un peu a des gens intelligents, je pense que certains d'entre vous le sont, et peut-etre que le ou les courageux qui ont tout lu jusqu'au bout et qui repondront apres avoir pris un doliprane, me soulageront de ces pensees qui m'obsedent et m'empechent de dormir tranquille.

Et encore, vous etes bien chanceux, je pourrais en ecrire davantage.

La bise a tous et a toutes, et bon jeudi et jours qui suivent...


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rotko
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rotko


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MessageSujet: Re: Vouloir aider et pouvoir aider...la difference est de taille   Vouloir aider et pouvoir aider...la difference est de taille EmptyJeu 20 Jan 2011, 05:50

En bref, si je comprends bien, tu culpabilises pour une rupture ?

je ne suis pas psychologue, peut-être devrais-tu t'adresser à quelqu'un avec qui tu peux discuter de vive voix.

Si tu n'éprouves pas de sentiment pour une personne, pourquoi la fréquenter si elle te met mal à l'aise ?
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MessageSujet: Re: Vouloir aider et pouvoir aider...la difference est de taille   Vouloir aider et pouvoir aider...la difference est de taille EmptyJeu 20 Jan 2011, 09:39

J'essaierai de lire tout plus tard (la réunion va commencer), mais Rotko a raison, n'y a-t-il personne à qui tu puisses parler à coeur ouvert et qui t'écouterait ? Internet, c'est bien, mais une présence humaine, c'est mieux Wink En tout cas, bon courage, les relations ne sont jamais de la tarte...
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Drella


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MessageSujet: Re: Vouloir aider et pouvoir aider...la difference est de taille   Vouloir aider et pouvoir aider...la difference est de taille EmptyJeu 20 Jan 2011, 11:52

Hello les gens, merci d'avoir repondu, disons que j'ai tendance a prendre peur quand une relation semble s'emballer et aller trop vite sans raison.

Je crois que la proximite a la fois physique et disons mentale, de communication, a ete trop dense ,avec cette personne, trop rapidement, du coup moi je m'imagine des trucs pas clairs...et puis le fait de l'avoir touchee m'a fait flipper, m'a rendu assez confus, et globalement cette situation m'a totalement depassee sur le moment, puis j'ai voulu l'aider, puis je me suis dit que qqch n'allait pas, et dans ces cas-la chez moi la seule solution c'est de couper les ponts, ca m'est deja arrive il y a 6 mois avec une vieille amie qui, je le sentais et c'etait bien plus evident que cette situation actuelle, avait vraiment besoin de qqn, mais a l'epoque encore plus qu'aujourd'hui je ne pouvais pas me poser en "ami" qu'elle desirait...

Globalement, je me prend beaucoup la tete pour du fantasme, de l'irrationnel, je m'imagine que je rend sans le vouloir certaines personnes dependantes de moi, et que je porte une responsabilite inhumaine sur les epaules. Du coup je flippe, et puis flap.

Bon, je crois que cette petite M. dont j'ai parle tout le long du message n'est pas si enervee que ca, et pas si attachee, peut-etre va t'on pouvoir s'attacher ou ne pas s'attacher avec le temps qui passe, et sans problemes existentiels de mon cote...let's see.

chapeau

PS : no souci, j'ai un psy Wink
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