Chuck Palahniuk

Comme toi, Jude, ce livre m'a laissé un souvenir impérissable.
Inouï.

Arc a écrit:

Comme toi, Jude, ce livre m'a laissé un souvenir impérissable.
Inouï.

Sur le forum, il y a Jude et il y a June.

Ca devient compliqué pour les anciens ! Faut se mettre à la page quotidiennement.

Lol... Désolée; c'est sûr que ça prête à confusion !

Il y a un roman qui paraît-il ressemble curieusement au Fight Club de Palahniuk, c'est Projection privée du japonais Kazushige Abe. Je ne peux pas vous en dire plus, je ne l'ai pas encore lu !

Solweig a écrit:

Sur le forum, il y a Jude et il y a June.

Ca devient compliqué pour les anciens ! Faut se mettre à la page quotidiennement.

Merci Solweig !

Donc June et Jude. Les deux noms sont bien jolis en tout cas.

Je songe sérieusement à revenir aux lentilles, avec mes lunettes, je n'y vois rien !

Mais il y a de la place pour toutes les graines heureusement. Presque le même nom, et des goûts littéraires et cinématographiques en commun. June, tu vas te régaler avec Fight Club, le livre, comme avec les autres œuvres de PalahniucK. Comme toi j'adore ce film, et j'adore le dire parce qu'on passe soit pour un ado attardé soit pour quelqu'un de malsain. Il fait partie de ma trilogie sacré avec Taxi Driver et Les Enfants du Paradis, des films qu'on peut regarder en boucle tant c'est beau à couper le souffle....

He he Jude, effectivement!!
J'ai vu et revu le film, il est brillant. Et j'ai tout autant aimé le roman. Ce qui est somme toute rare. Quel Palahniuk me conseillez-vous après Fight Club?

Tu peux voir sur ce fil plus haut... Comme Rotko je dirais A l'Estomac, livre coup-de-poing assez sanglant..
C'est l'histoire d'une bande d'écrivains égotiques qui se constitue dans l'idéal d'une hostilité : partis en retraite pour écrire leur chef d'oeuvre, ils se retrouvent enfermés dans un théatre souterrain, sans espoir de sortie.
Devenus prisonniers volontaires de cet enfermement, ils livrent chacun leur tour le traumatisme initial marquant leur entrée dans la fiction. Leur récit collectif, c'est une création qui s'exprime a la première personne du pluriel et met épisodiquement sur le devant de la scène un de ses membres ; comme dans un groupe de parole, ou plutot comme sur les planches d'une stand up comedy, chacun des membres progresse tour a tour dans l'horreur, dans la folie, repoussant les frontières du sordide à la manière des comiques américains qui se refilent des blagues obscènes avant d'entrer sur scène.

Et bien ce sera le prochain!! Merci Jude!

« Pygmy » par Chuck Palahniuk, traduit de l'américain
par Bernard Cohen, Denoël,

bibliobs n'est pas enthousiaste et explique pourquoi le nouveau palahniuk fait un bide

Citation :

On y retrouve le cocktail sexe-violence, les personnages sont plus difficilement identifiables. De subversif, il n'y a que les scènes scatologiques (la mère adoptive aime voler à ses enfants les piles de leurs gadgets pour alimenter ses propres godemichés) glissées entre les citations de célèbres dictateurs.

Puisqu'on ne la comprend qu'à demi-mot, cette dénonciation du consumérisme et de l'Amérique bien-pensante perd de sa radicalité et de son intérêt. L'auteur choc, qui abandonne sa plume corrosive pour l'occasion, se laisse prendre à son propre piège. Bref, pour surprendre ses lecteurs, Palahniuk est prêt à tout, quitte à les perdre en cours de route.

tout l'article

J'ai pris "Pigmy" à la biblio, refermé à la page 65, après m'être forcée à continuer jusque là.....

Ecriture illisible, je me demande comment les traducteurs ont pu arriver à sortir quelque chose, bravo à eux....
Ce n'est même pas gore, c'est écoeurant et répétitif de vulgarité et de nullité.

Le premier et le dernier que j'essaie de lire de cet auteur si ses autres productions ressemblent à celle la !

Je te conseille "survivants" ou "choke" de lui...

Y a-t-il un intérêt à lire fight club si on a vu et revu le film ?
Dans le doute, je me suis lancé dans la lecture d'un livre du même auteur Survivant.
Le foliotage est étrange, erreur en prépresse ou intentionné ?

p.bateman a écrit:

Y a-t-il un intérêt à lire fight club si on a vu et revu le film ?
Dans le doute, je me suis lancé dans la lecture d'un livre du même auteur Survivant.
Le foliotage est étrange, erreur en prépresse ou intentionné ?

tu verras sur ce fil que j'ai abandonné un elivre delui pour cette raison. A mon avis quand les pages ne se suivent pas dans l'ordre, le livre, pour ce défaut, est à mettre au rebut.

Il ne s'agit pas d'une erreur de fabrication :

L'éditeur a écrit:

Ce livre est un compte à rebours. Il est donc normal et voulu par l'auteur qu'il commence au chapitre 47 et à la page 365.

Dans Fight Club, si je me souviens bien, dès les premières minutes, on voit la destruction des banques puis on remonte le temps.

ah bon je n'avais rien lu de ce genre dans mon exemplaire.

C'est dans l'édition "folio policier" que j'ai pu voir cette note de l'éditeur.
Il n'est donc plus à mettre au rebut

il s'agissait de survivant

Citation :

les premiers chapitres sont à la fin du folio, les derniers vers le debut, et au milieu c'est encore plus le desordre que pour les gagnants du tiercé Impossible à lire dans ces conditions, je vais trouver un autre volume !

Apparemment je ne suis pas le seul à avoir abandonné dans ces conditions. je ne me souviens plus des détails, mais les petites choses horribles dans la vie de palahniuk font un cortège réjouissant

Le grand-père paternel de Charles Michael Palahniuk a tué sa femme à coups de fusil avant de se suicider. Avant le divorce de ses parents, il grandit dans un mobile home ; il frequente - pour les aider, les sans-abris, les personnes âgées et les malades en phase terminale ;

on aurait des troubles du sommeil pour moins que ça. Bref, j'attends que tu lises Survivant, et vu ce que tu m'apprends sur la pagination décalée, je me traite d'imbécile

Je viens de finir Survivant, l'histoire est plutôt invraisemblable, et "le compte à rebours", la pagination en partant de la fin, va très bien avec l'idée du livre

Félicité (femme qui "accompagne" notre personnage) est l'équivalent de Marla Singer dans Fight Club.

Pour moi, il s'agit d'œuvres du même registre. J'ai passé un bon moment de lecture

Cassie Wright, star du porno sur le retour, a décidé de terminer sa carrière sur un coup d'éclat : se faire prendre devant les caméras par six cents hommes au cours d'une seule nuit. Dans les coulisses, les heureux élus attendent patiemment leur tour.

Parmi eux, les numéros 72, 137 et 600 font part de leurs impressions. Mais, entre fausses identités, désirs de vengeance et pulsions homicides, toutes les apparences vont se révéler trompeuses et la nuit ne va pas du tout se passer comme prévu. Plus trash, subversif et sauvage que jamais.

les interrogations de bibliobs :

Citation :

Le numéro 72, jeune homme sympathique mais perturbé qui fornique avec une poupée gonflable à l'effigie de Cassie, serait-il son fils abandonné? Le numéro 600, illustre hardeur, serait-il le père du numéro 72?

J'ai lu beaucoup de bien de ce roman, qui reste dans la droite ligne de ses écrits.
Editeur Sonatine

Je me demande si ma bibliothèque le commanderait ?