Trash metaphor

Je commence un récit qui a une part autobiographique. (Tout se situe dans la spiritualité du personnage principal, pas des évènements qui constituent sa vie.) Avec comme particularité que les premières lettres de chaque lignes de certains passages (c'est-à-dire beaucoup) forment une phrase.

Je mets ici l'incipit, merci de me dire ce que vous en pensez.

"Je veux ça. Oui tout c’est très bien. Ouais ça gère. Les est en train de flipper. Laisse couler va,
oublie qu’c’est complètement inconscient c’que je fais là. Je lance « Window shopper »
un morceau de musique pour la route. J’ai trente ans, Les huit. Je l’ai eu à 22. Impossible de
refuser à Les une vie équilibrée. Ca craint sinon. Sa mère, mon ex-meuf l’a garde parfois.
Sa mère. Oui, sa mère ne veut plus l’avoir sur l’dos putain. J’pige pas, c’est son môme bordel.
Elle a voulu faire celle qu’est loin, qu’a d’autre chose à faire. Elle et Les, s’entendent mieux
non, s’entendent beaucoup mieux tant qu’elle est là. Allez, j’raconte rien là. Merde.
Nous sommes – Les et moi- dans la Volkswagen, j’aime rouler vite. Très vite. Les, est hélas
obligé de m’insulter, pris par surprise lorsque je fais des virages périlleux. D’accord, j’arrête.
Il m’a menacé avec son Luger P08. C’est devenu un délinquant le salopard. Nan c’est pas la
réalité.

Et bien c’est de cette manière que je vis, ouais avec Les je suis à la fois père et pote…c’est
taré. Nan c’est pas taré c’est normal. Putain, je gère encore j’ai 30 piges petit salopard.
Bien que ce rôle, cette responsabilité m’incombe de le rendre raisonnable, que je lui doive
l’existence la plus équilibrée possible comme j’l’ai dit plus haut, moi et Les, on a ce rythme-
au moins Les est accepté- de sorties à des soirées.
Nan, bien sûr je ne sors toujours pas en sa compagnie, ces fois là justement où je suis sans sa
compagnie, ce sont les fois où il est gardé par, elle.

De toute évidence…ces moments où je l’exaspère me rassurent. Au moins, je ne serais plus –
en pensant à cette paternalité parfois idéalisé par l’enfant- un modèle, il me dépassera, me coupera le
cigare, au lieu de suivre ma route, et deviendra plus fort, ce sera la lignée de fils,
hommes toujours plus fort, et intelligent les uns que les autres.
Aujourd’hui, je roulais vite, j’faisais une connerie, et ça m’éclatait en apparence. Mais c’était
onirique. Une apparence, pour échappé la misère qui enveloppait mon âme d’ennui et de
serrement de cœur."

Nb : Comme le format des posts différe de celui de word, premières lettres ne sont plus au même endroit. Je les ai mises en gras.

J'aime Bien les contraintes du genre. Joli !

j'ai tenté de remettre les lettres en acrostiche, il doit y avoir quelques erreurs.

Exact, j'ai remarqué l'erreur. C'est le t, qui devait être mis en gras pas le N.

ça donne : Jours en noir et blanc, de chaos

L'émane a écrit:

Exact, j'ai remarqué l'erreur. C'est le t, qui devait être mis en gras pas le N.

ça donne : Jours en noir et blanc, de chaos

d'accord, c'est fait. Avec des capitales de couleurs, c'eût été encore plus visible

En fait, puisque ce passage ne dit pas grand chose je dirais que le roman s'articule autour de plusieurs points de la personnalité, de ma personnalité.

Connaissez-vous des romans traitant de ces traits de caractères ?

-> L'introspection
-> La révolte
-> L'image qu'on donne de soi
-> Le pessimisme
-> L'influence
-> L'arrogance
-> Le mysticisme
-> Le cynisme
-> L'indifférence

amusant petit jeu

-> L'introspection Un amour de Swann
-> La révolte le boucher des hurlus de jean meckert/amila
-> L'image qu'on donne de soi
-> Le pessimisme l'oeuvre, Zola
-> L'influence
-> L'arrogance
-> Le mysticisme
-> Le cynisme les liaisons dangereuses
-> L'indifférence l'étranger