comics en vrac et en francais

mazel a écrit:

recherche le tome 2 des xmen ere d apocalypse dans la collection marvel best of

tome 2 des xmen ere d apocalypse : regarde ici

Spoiler:

Va voir ici, c'est un ami (qui part en vacances demain pour 15 jours....). Cela dit, je ne sais pas s'il a tout ça en français:

Spoiler:

En V.O. il aura tout ce que tu cherches et si tu ne trouves pas, il vaut toujours la peine de poser la question...

Bon désolé de faire ça, puisque ça n'a pas l'air d'être la "politique du forum". Je créer un topic en vrac, c'est à dire pas centré sur un seul auteur. Pour les comics à vrai dire c'est assez galère de faire par auteur, puisque parfois tel scénariste va bosser avec tel dessinateur, bref je voulais parler de plusieurs comics et j'ai pas trouvé les topics adaptés alors je créer celui-ci en espérant que ça ne dérange personne. Et aussi, d'avance, désolé pour la taille de l'image de Batman.

Batman un long halloween :Comics culte que je n’avais jamais lu jusqu’à maintenant, mais il n’est jamais trop tard pour se rattraper . Je ne vais pas vous [/u]raconter qui est le personnage de Batman, je vais faire comme si vous connaissiez tous. Bruce Wayne devenu un justicier masqué après l’assassinat de ses parents, Gotham City, sa ville, rongée par la criminalité…patati patata…..Bref Un long Halloween ne réinvente rien, elle reprend les bases, pas les origines, juste les bases. L’histoire nous plonge au milieu d’une enquête, celle d’une série de meurtre perpétré par un meurtrier inconnu que tout le monde nomme Holiday, car il tue seulement les jours de fêtes et cette série de meurtre débute le jour d’Halloween dans la famille mafieuse Falcone. C’est du polar pure et dure, du vrai détective comics aux couleurs sombres avec les traits joliment brouillons de Tim Sale qui en un dessin peut retranscrire plusieurs actions. Et heureusement qu’il y parvient car le récit va très vite, et c’est pas parce que je me suis pas replongé dans un comics depuis longtemps que je trouve ça rapide, c’est parce que c’est vraiment ultra rapide, que c’en est presque déstabilisant. C’est à la fois très rapide dans l’enchaînement des événements et en même temps on ressent tout le temps une sorte d’accalmie entre chaque chapitre comme si le scénariste dans cette histoire bouillonnante prenait le temps de nous parler de Gotham. Donc voilà un excellent comics dont le graphisme a même inspiré Miller pour ses Sin City, et dont le scénario sombre et rapide a inspiré Nolan pour son adaptation de Dark Knight ( le Batman Begins est surtout inspiré du comics Batman Year’s One).






Preacher : Gart Ennis et Steve Dillon sont deux compères de la BD qui forment un beau duo sur les comics de Punisher, vous savez ce type avec un crâne sur un t-shirt qui zigouille la mafia new yorkaise pour assouvir son besoin de vengeance. Dillon et Ennis ont toujours réussi dans leur binôme et leur plus grande réussite c’est Preacher, une des meilleures séries trash, subversive de la bande dessinée américaine. Une des meilleures séries de la Bande Dessinée tout court, pourquoi ? Pour tout et surtout pour son histoire qui nous fait traverser une Amérique pleines de personnages clichés, drôles, violents, attendrissants et c’est presque là que réside tout le potentiel de la série : la multitude de personnage intéressants et les situations qu’ils vivent. Si je devais résumer l’histoire vous y pigerais que dalle mais en gros ça donnerait ça : L’histoire d’un pasteur non croyant, que l’on a forcé à devenir ainsi et qui a comme mentor spirituel John Wayne est chargé de retrouver Dieu, qui s’est barré de son poste et qui flâne parmi les humains et profite de leurs plaisirs et donc de leurs vices. Ce révérend nommé Jesse Custer se retrouve à son insu entouré d’une petite équipe composée de :
-son ex-compagne tueuse à gage avec qui il a vécu un amour façon bonnie and clyde par le passé.
- un vampire d’origine irlandaise qui vit sa situation à la cool, qui se fout toujours dans de sacré pétrin mais qui s’en sort toujours grâce à ses pouvoirs surnaturels.
Cette équipe qui traversera l’Amérique à la recherche de Dieu affrontera toute sorte de situation et de personnages telles que des sectes protestantes protégeant la descendance d’Adam et Eve, à savoir un gamin consanguin complètement triso . Un shérif raciste et son fils, jeune fan de Kurt Cobain à la tronche « de fion » à cause d’un suicide raté imitant son idole. Un cowboy revenu des enfers ayant pris la place de l’ange de la mort, qui vient tuer ceux qui doivent mourir. Une grand-mère texane horrible aux préceptes religieusement violents, et entourée de pecnos sanguinaires obsédés sexuels. Bref des tas de personnages, des tas de situations bien trash mais toujours un fil conducteur et une histoire précise. Ce comics et une pure épopée anti-puritanisme avec laquelle je prends mon pied, et donc si vous aimez les épopées et les situations drôles, trash et aux messages acerbes, je vous conseille de sauter sur cette série.
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tu fais comme tu veux, les posts synthetiques ont aussi leurs charmes. Moins chargés, ils ont plus de chances d'être lus par ceux que les pavés rebutent.

on parle bien du même sin city ?

Oui le Sin City de Frank Miller, à vrai dire je sais pas si il existe d'autres comics qui portent le même nom. Miller s'est inspiré du style de Tim Sale de ce Batman pour ses Sin City.Voici un exemple d'un dessin de Sale.


Après Miller a aussi dessiné pour Batman avec un comics parait-il super bon, que je n'ai jamais lu. Celui-ci :

Alive le problème des comics se situe justement à propos des dessinateurs. La multiplication des dessinateurs, due aux impératifs d'édition, nuit souvent à leur qualité.
DMZ, par exemple, peut connu au début est de plus en plus éclaté à ce niveau. Heureusement que Brian Wood est lui-même illustrateur cela offre un gage de qualité dans le choix des artistes car souvent c'est une vraie catastrophe. Pour ceux qui comme moi sont exigeants au sujet du graphisme, nous devons nous rabattre sur les one-shoot (Spawn la saga infernale, Batman l'asile d'Arkham, Silent hill pourri du ventre ou Luna Park, pour ne parler que de mes derniers achats). Mes dessianteurs préféré sont Dave McKean, Bill Sienkiewicz et Danijel Zezelj.

Je suis autant exigeant sur le dessin que sur le scénario. Et même peut être un peu plus sur le scénario, la preuve est que j'ai commencé à me mettre aux mangas avec 20th Centurt Boys et j'adore. Pourtant pour moi les mangas souffriront toujours de leur dessin standarts, après je connais pas bien ce monde là et ça se trouve certains mangas comportent de belles illustrations.
Bref je pars dans un autre sujet là. Mais par exemple Preacher n'a pas des illustrations magnifiques et originales qui apportent à l'histoire, pourtant c'est un super comics. Et j'ai pas de dessinateur préféré, je me suis jamais posé la question.

Je me suis tourné vers le comics parce que je ne trouvais plus dans la bd européenne le souffle qui me faisait vibré avant. Je trouve que la bd se mord un peu la queue en ce moment et je pense que le renouveau viendra en intégrant les recherches narratives et graphiques de certains auteurs comme McKean, pour ne parler que de lui. La Bd est née aux USA, je pense qu'il est temps d'aller à nouveau y puiser une nouvelle jeunesse afin de faire évoluer cet art.

Je suis sur une série bien sympa, abordable mais après c'est pas de la tuerie non plus. C'est quand même assez répétitif mais malgré tout c'est addictif et c'est court, en 10 tomes. J'en suis au 6ème.
Y Le Dernier Homme
Avec des dessins pas très beaux, enfin, si c'est bien dessiné mais ça n'a rien de percutant c'est rrès banal comme dessin mais au final on s'en fou puisque le scénario est bon, le voici en résumé : Yorick se retrouve le dernier homme sur terre avec un fléau dont l'origine est inconnu. Dernier homme, je dis bien, c'est à dire que tout le reste de la population est composé de femmes. Et Yorick veut retrouver sa petite amie qui vit en Australie, il devra à l'aide de deux coéquipières traverser un monde qui a changé, un monde en pleine reconstruction et donc en pleine anarchie dont la vision sexiste a été grandement bouleversé. Et puis voilà, il se passe plein de choses, ça se lit super facilement et ça vaut le coup.

Et je lis aussi un comics à l'opposé parfait du tout premier comics présenté dans ce topic. All Star Superman.
Une run de 12 tomes rassemblée en une seule édition. Comme avec Batman, là c'est pas une histoire d'origine sur Superman et il faut bien connaître l'univers, je dirai même très très bien pour pouvoir comprendre l'histoire. C'est à la fois une histoire inédite et rès bien écrite et à la fois un condensé de tout ce qu'on aime dans Superman. Et puis j'aime comparer les deux héros aux antipodes que sont Batman et Superman, rien que le dessin fait toute la différence, Batman c'est du polar, c'est sombre c'est froid et méchant. Superman comme vous pouvez le voir ici, c'est clair, lumineux, coloré et grandiose
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100 bulletts


Wes Cutter est un fugitif qui tente de fuir un passé violent : les horreurs de la guerre civile, un séjour difficile dans un camp de prisonniers de l'Union, et les conséquences douloureuses de la reconstruction. Mais aujourd'hui, il rentre au pays, dans une ville engluée dans de terribles secrets, à la recherche de Ruth, son épouse, elle-même hantée par ses propres démons. En quête de rédemption, nos Bonnie & Clyde du Far West vont se frayer un chemin sanglant à travers l'ouest américain, à la recherche de la seule chose qui leur a toujours échappé : la paix.

l'éditeur Panini france 70 p. tome 1 > tome 8.

un mystérieux agent offre à des personnes ayant un jour été des victimes le moyen de se faire justice en toute impunité. Ecrite par Brian Azzarello et dessinée par Eduardo Risso, la série, culte aux Etats-Unis, ressort en France en version cartonnée.

« 100 Bullets » vaut pour la variété des personnages qui l'animent – et qu'on retrouve régulièrement dans la série : une jeune veuve tout juste sortie de prison, un barman injustement accusé de pédophilie, un glacier ambulant dont la grand-mère a péri dans un incendie criminel, etc. Et comme chaque récit se situe dans une tonalité et un univers différents, le lecteur n'éprouve jamais de lassitude.

20 minutes.

On m'a passé les deux premiers tomes de 100 bullets, je les ai toujours pas lu. Il parait que ça vaut vraiment le coup.