Perceptions paradoxantes, un roman psychologique déroutant

Publié en octobre 2008 aux Editions françaises Publibook, l’ouvrage traite le paradoxe au travers des perceptions de son auteur, Axel Van Weynendaele, 31 ans, Licencié de l’Université de Louvain-la-Neuve (UCL) en Belgique.

Ce roman psychologique déroute par son questionnement et par les portes d’entrée utilisées afin de traiter d’une réalité toujours interpellante, le paradoxe.
Au-delà d’une perception singulière, cet ouvrage poursuit le questionnement et l’ouverture. Un laboratoire à penser, voici la visée première des réflexions qui y sont développées.

Aussi surprenant soit-il, tout paradoxe porte en lui sa propre sortie et son propre dépassement ; là se trouve l’exercice de notre liberté. Vital, porteur de sens, il pousse à regarder sans fuite et sans truchement une réalité qui nous désoriente. De l’émotion au travail, de la politique à l’économie, de l’intime à l’universel, mille visions pour autant de paradoxes.
Si le paradoxe détient ce pouvoir dialectique de placer l’individu dans le désarroi, il porte en lui sa propre sortie vers l’accomplissement et, c’est en ce lieu précis que se trouve l’exercice de notre liberté.

L’auteur ouvre les portes de l’ambiguïté et nous emmène pour un voyage tout en nuances. Se voulant « la simple et modeste perception d’un trentenaire », ses « Perceptions paradoxales » s’avèrent au contraire une ambitieuse réflexion sur notre monde et les conceptions que l’on s’en fait. A mi-chemin entre démarche philosophique et questionnement social, c’est simplement toute la richesse des possibles qu’elles dévoilent.


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A vrai dire, je ne vois pas trop de quoi il retourne

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