est-il naïf de s'étonner ?

je trouve dans le devoir.com, journal quebecois ce petit article d'un touriste

Citation :

je suis allé à Montréal en touriste et j'ai vu tellement de sans-abri que j'en ai été surpris. Entre le métro Berri et le quartier gay, il y en avait des dizaines. Que font-ils tous là précisément? En les voyant, je me suis dit: que penseraient des gens civilisés s'ils venaient dans un pays aussi sauvage, où on laisse des gens dormir dehors en pleine rue au lieu de leur prêter ne serait-ce qu'un entrepôt?

On pourrait louer de grands entrepôts surveillés et tracer des lignes au sol pour diviser des espaces de dix pieds carrés séparés par des allées piétonnières et laisser les gens s'y installer comme ils s'installent dehors, mais bien au sec et sous la surveillance d'une caméra et d'un système d'alarme. Et ils auraient ainsi une adresse, éventuellement avec une grosse malle barrée pour ranger leurs affaires.

On pourrait ainsi leur parler de temps en temps pour leur offrir un peu plus intelligemment l'aide dont ils ont visiblement besoin. Si des gens civilisés nous voyaient préférer les laisser dormir dehors, que diraient-ils de nous ?

ils diraient "viens Léon on a les mêmes à la maison"

c'est affreux ce que je dis mais c'est ce qui me vient en tête

Citation :

le SMIC à 1.500 euros brut dans cinq ans, qui est une idée phare de Laurent Fabius, ou la généralisation des 35 heures, sont deux idées qui étaient dans le projet des socialistes, que j'ai dû reprendre dans mon pacte présidentiel et qui n'ont pas du tout été crédibles

Dans le genre "vous y avez cru, vous ? pauvres niais"...

C'est un peu fou, toutes ces histoires !

L'une promet ce qu'elle n'avait pas l'intention de tenir, ni même, à l'en croire, la possibilité de faire,

alors que l'autre, qu'elle donnait comme exemple flagrant d'immoralité politique, nous donne ce qu'il s'était bien gardé de promettre, la "TVA sociale" !
le cynisme est dans l'adjectif "social" ! voila du "social" dont on n'a pas besoin

Cette fois-ci, je transmets, sous sa responsabilité, un message de Jean-Claude Renoux, écrivain et conteur :

Janis Otsiemi, l'auteur de Tous les chemins mènent à l'autre, roman paru aux editions Ndzé, Editions Raponda Walker, 2002, Prix du premier roman francophone gabonais 2000, invité en france par son ami Jean-Claude Renoux, n'a pas obtenu son visa de sejour, delivré normalement par le consulat de France au Gabon. Il devait signer un contrat avec l'Harmattan pendant son séjour de 5 jours en France.

ce message de jean claude Renoux a été relayé par plusieurs organes de presse.

rotko a écrit:

Cette fois-ci, je transmets, sous sa responsabilité, un message de Jean-Claude Renoux, écrivain et conteur :

Janis Otsiemi, l'auteur de Tous les chemins mènent à l'autre, roman paru aux editions Ndzé, Editions Raponda Walker, 2002, Prix du premier roman francophone gabonais 2000, invité en france par son ami Jean-Claude Renoux, n'a pas obtenu son visa de sejour, delivré normalement par le consulat de France au Gabon. Il devait signer un contrat avec l'Harmattan pendant son séjour de 5 jours en France.

ce message de jean claude Renoux a été relayé par plusieurs organes de presse.

C'est ce que l'on appelle la liberté de l'écriture ....