Schuiten & Peeters

la video de la theorie du grain de sable à La maison Autrique

Du 27 septembre au 2 mars 2008
Chaussée de Haecht, 266
1030 Schaerbeek

L'enfant penchée réapparait dans le grain de sable

Voici le décor de Brusels en 764



Un homme enturbanné arrive en ville, y dépose un objet, auquel il tient beaucoup




et trouve la mort.

Des phénomènes inquiétants se produisent dans la vie quotidienne :

- le restaurateur maigrit au point d'avoir tendance à s'envoler,
- du sable envahit un appartement,
- des pierres du même poids surgissent chaque jour dans un autre appartement.


belle histoire sur deux tomes, et superbes dessins.

« Une atmosphère étrange se dégage de cet opus davantage construit comme un story-board, une tapisserie d’un monde qui se meurt et qui se punit des excès de ses ancêtres. Ambiance laiteuse, couleurs pastels, antiques... un brouillard semble perpétuellement voiler le dessin dans lequel perce un certain charme entre classique et haussmannien. »

Citation :

c'est une réédition de cette bande dessinée parmi la série des Cités Obscures enrichie de quelques nouvelles planches avec une explication intéressante et éclairante sur l’histoire de Taxandria tant du point de vue du dessin que du projet de film d’animation...

Actua Litté.

Citation :

L'enfant penchée réapparait dans le grain de sable

c'est elle qui mène l'enquête sur les événéments insolites dans la ville, très présente avec ses bâtiments verticaux, et ses ponts multiformes.

Dans l'illustration ci-dessus du grain de sable, je décèle l'influence de Piranèse

Là encore l'explication du tome 2 ne satisfait pas en général le lecteur. Ce dernier est sensible au dessin et à l'agencement des formes/volumes dans cet album, comme il convient puisque les créateurs sont des architectes.

À cinquante ans passés, Léon Van Bel, machiniste-mécanicien proche de la retraite, s’accroche
passionnément à son métier de cheminot, et à la machine qui l’incarne : la 12.004, somptueuse
loco à vapeur de plus de vingt mètres de long, avec laquelle il a déjà fait quatre fois le tour de la
terre et qu’il surnomme affectueusement « la Douce ». Mais au fond, il ne se fait guère d’illusions.



un album à retenir dès que possible.