de qui est-ce ?

le Wyoming et la date de naissance,le cow boy, policier etc. est- ce le roman "Enfants de poussière"?

craig johnson, né en fevrier ?

hé non ! juste celui d'avant : l'indien blanc
je viens d'en terminer la lecture et j'attendais que vous trouviez la réponse pour donner mes impressions sur le fil Graig Johnson. Je viens de le faire. J'ai vraiment aimé ce livre

vi, Rotko, il est né le 2 février !

Marianne Renoir a écrit:

"J’ai longtemps laissé croire que ma mère était encore en vie. Je m’évertue désormais à rétablir la vérité dans l’espoir de me départir de ce mensonge qui ne m’aura permis jusqu’alors que d’atermoyer le deuil."

de qui est-ce?

un fils, auteur français, qui règle ses comptes avec sa mère toujours vivante ?

oui rotko,auteur francophone, son livre est une sorte de deuil

indice: sans s'enfermer dans sa noirceur.

un auteur d'origine africaine qui vit aux Etats Unis ?

exactement Rotko! je pense que tu as trouvé, pas vrai?

un poème, la négritude, mais ce n'est pas ça.

non, ce n'est pas ça,Ysandre, pour te mettre sur la piste..un petit

je laisse Ysandre chercher et trouver, car je dois partir.

superbe ton hérisson, Marianne

"J’ai longtemps laissé croire que ma mère était encore en vie. Je m’évertue désormais à rétablir la vérité dans l’espoir de me départir de ce mensonge qui ne m’aura permis jusqu’alors que d’atermoyer le deuil."

ah ! le fieffé coquin ! il me laisse seule pour trouver ! je n'aurais point de mots assez durs, pour qualifier ton attitude, ton Excellence !!!!
oh ! Marianne, personne ne nous vient en aide ! sniff ! et je suis perdue dans mes auteurs africains !!!

heu .. Alain Mabanckou ?

je n'aurais pas dit mieux

C'est bien ma puce d'Ysandre, tu as enfin trouvé l'auteur ,et le titre?,

Vous avez bien avance, bravo! Je ne connais pas Alain Mabanckou, desolee ...je pensais a John Fante . Ce qu'on pourrait apprendre sur GDS* !

merci ma Marianne, mais, et je vais le dire aussi pour Maya, à cause de mon passage au théatre (petit petit) que je me suis rendue compte de "ma voix". Ensuite, j'ai eu l'occasion de dire un texte de cet homme magnifique, un extrait,
et je ne me rappelle plus lequel ! horreur deplus, lorsque GDS a parlé de lui, je ne m'en souvenais plus ! mais qu'est-ce que je suis nulle. Et là tout d'un coup, quelque chose me dit que c'est Mabenckou !mais pourquoi le hérisson ? je n'ai pas tilté !

ah Maya ! lis Verre cassé, cet homme a compris les hommes et la terre, il a souffert et il est bon !!!!

Ysandre a écrit:

merci ma Marianne, mais, et je vais le dire aussi pour Maya, à cause de mon passage au théatre (petit petit) que je me suis rendue compte de "ma voix". Ensuite, j'ai eu l'occasion de dire un texte de cet homme magnifique, un extrait,
et je ne me rappelle plus lequel ! horreur deplus, lorsque GDS a parlé de lui, je ne m'en souvenais plus ! mais qu'est-ce que je suis nulle. Et là tout d'un coup, quelque chose me dit que c'est Mabenckou !mais pourquoi le hérisson ? je n'ai pas tilté !

pourquoi le hérisson, voyons "Mémoires du porc-épic" 2006 edité par le Seuil

mais ce n'est pas encore le titre que je demande, Ysandre

lumières de Pointe-noire
mais je n'ai aucun merite, chuis allée voir, à pas de lémurien, sans bruit... celui-là, je ne l'ai pas lu pourtant !!! il me semble que je remarque les styles, quand ils sont particulièrement marqués, il m'arrive de me rappeler...
mais tu te rends compte ma tite Marianne, j'ai commencé à lire à 11 ans à peine, et je peux te dire que j'ai dévoré !!!

Alain Mabanckou


oui, c'est bien Lumières de Pointe Noire , si tu aimes cet auteur,il vient d'etre publié et est sorti le 3 janvier, empresses -toi de te le procurer.

en voici le contenu:

J’ai longtemps laissé croire que ma mère était encore en vie. Je m’évertue désormais à rétablir la vérité dans l’espoir de me départir de ce mensonge qui ne m’aura permis jusqu’alors que d’atermoyer le deuil.




Après vingt-trois ans d’absence, Alain Mabanckou retourne à Pointe-Noire, ville portuaire du Congo. Entre-temps, sa mère est morte, en 1995. Puis son père adoptif, peu d’années après. Le fils unique ne s’est rendu aux obsèques ni de l’un, ni de l’autre.

Entre le surnaturel et l’enchantement, l’auteur nous ouvre sa petite valise fondamentale, celle des années de l’enfance et de l’adolescence dans ses lieux d’origine.

Au moment de repartir, il se rend compte qu’il n’est pas allé au cimetière. Sans doute était-ce inutile. Car c’est ce livre qui tient lieu, aussi, de tombeau. Et de résurrection.

je suis sciée ! je viens de lire le fil de Mabanckou, je n'ai pas donné d'impressions de lecture !!!! alors que j'ai lu Verre cassé et suis tombée en amour pour le style de ce mec incroyable !
alors, là !!! j'ai rien dit... alors qu'il me fendait le coeur !

je passe la main. Qui veut poser une question ? bande de paresseux !

Je peux?

Un homme nouveau marchait dans le jade crepusculaire de la ville. Cette ville qui , longtemps, avait ete hostile a G*, devnait, depuis les paroles du compte d'A*, une conquete facile, de ces amourettes lascives qui redonnet l'orgueil et offrent un regain de prestance. Il marcahit et elle sembalait seduisante, pittoresque. Le matin ou il avit quitte E* etait si loin a present que rien n'eut paru plus absurde, indigne de lui, que de reprendre le chemin du bordel. Il marcahit ver Montmartre et eprouvait le delice d'un changement, de faire corps avec Paris, d'etre en elle, dans ses rues, au meilleur endroit.