Lars KEPLER

Le Pacte de LARS KEPLER

Citation :

(Quatrième de couverture)
Une jeune femme est retrouvée morte à bord d'un bateau dérivant dans l'archipel de Stockholm. Ses poumons sont remplis d'eau de mer, pourtant il n'y a pas une seule goutte d'eau sur ses vêtements. La sœur de la victime, une célèbre militante pour la paix, est quant à elle poursuivie par un tueur implacable. Le même jour, un corps est découvert pendu à une corde à linge dans un appartement à Stockholm. Il s'agit de Cari Palmcrona, le directeur général de l'Inspection pour les produits stratégiques, l'homme chargé de valider les contrats d'armement de la Suède. Tout semble indiquer un meurtre car la pièce est vide et rien n'a pu lui permettre de grimper jusqu'au nœud coulant qui l'a étranglé. Pourtant l'inspecteur Joona Linna est persuadé qu'il s'agit d'un suicide... En menant de front ces deux enquêtes, Joona Linna ignore qu'il entre de plain-pied dans un univers trouble fait de commissions secrètes, d'ententes tacites et de pactes diaboliques. Un univers où les desseins machiavéliques le disputent aux pires cauchemars. Un univers où les contrats ne peuvent être rompus, même par la mort.

Après L'Hypnotiseur, Lars Kepler signe encore une fois un thriller haletant et continue d'explorer la face sombre clé la Suède.

Lars Kepler est le pseudonyme du couple d'écrivains Alexander et Alexandra Abnoril. L'Hypnotiseur ("Actes noirs", 2010), le premier opus de la série, a été un best-seller international.

J’ai enfin terminé le Pacte de Lars Kepler, un livre qu’une copine m’avait suggéré.
Généralement, quand je lis un auteur de polar suédois, je suis scotchée (que ça soit par Henning Mankell, Ake Edwardon, Stieg Larsson,..), mais ici grosse déception, je n’ai pas du tout accroché à l’histoire qui m’a semblé au final bien inconsistante et cette affaire de commerce d’armes ne m’a pas passionné du tout !

Je n’ai jamais été emportée par un peu de suspens, ce qu’on est en droit d’attendre quand on lit un thriller !

Aucun personnage n’a réussi à me toucher, à m’émouvoir, j’avais l’impression qu’ils étaient froids, sans états d’âmes,…

Je ne sais pas si c’est le choix de l’auteur (je devrais dire des auteurs car Lars Kepler est le pseudo d’un couple d’écrivains ) ou la faute au traducteur mais le style est parfois agaçant, on rencontre très peu de phrases subordonnées, les phrases sont très simples, la plupart du temps au présent, avec peu d’emploi des pronoms personnels.

Enervantes aussi sont les répétitions dans le début de certains chapitres.
En plus, il ya aussi quelques passages très violents qui m’ont dérangé et des détails de bagarres qui ne m’ont absolument pas intéressé.

Bref, vous l’aurez compris, je n’ai pas aimé ce livre, ce soi-disant « thriller haletant » selon la 4ème de couverture.

en fait dans l'histoire, la tueuse, c'est toi et je n'y vois aucun inconvénient, au contraire. Quand un livre nous déçoit, il faut le dire !

rotko a écrit:

en fait dans l'histoire, la tueuse, c'est toi et je n'y vois aucun inconvénient, au contraire. Quand un livre nous déçoit, il faut le dire !

Je me souviens qu'à la sortie de L''hypnotiseur j'étais à la librairie polar que j'affectionnais tant et mon ami libraire m'avait dit que je serais déçue, alors même si c'était pour ma mère j'ai préféré ne pas l'acheter. Je ne dis pas non plus qu'un jour je ne tenterai pas le coup

Mais comme je disais il ne me tente pas

Merci Spritz