kate cary, Dracula l'héritier

Dracula l'héritier edité chez Milan.



1916 ; Une infirmière dans un hopital londonien, intriguée par les délires d'un officier blessé, jette un coup d'oeil dans son journal de combat. Il y raconte les combats et les équpées nocturnes du colonel Parker, un colosse, comme lui originaire de Transylvanie.

Les ennemis allemands découvrent au petit matin des cadavres mutilés dans leur tranchées, des artères tranchées et des trachées artères.

connaissez-vous ce Dracula-là, la-laire ?

Citation :

Kate Cary, fascinée par le comportement animal et qui sait déchiffrer toutes les motivation cachées dans les attitudes d'un chat, n'a pas peur de décrire les scènes les plus sanglantes quand la violence apparaît dans les livres

Je l'ai lu et j'ai beaucoup aimé. Je n'étais pas sur d'apprécier parce que la première guerre mondiale ne m'a jamais passionnée et une bonne première partie se déroule dans les tranchées.

Je l'ai lu d'une traite, on devient vite passionnée par le récit de john Shaw cet anglais sur le front européen qui rencontre Quincey Harker, ce supérieur que tout le monde admire pour son courage et qui se révèle peut-être moins honorable qu'il n'y parait.

L'histoire nous est contée qu'au travers des journaux intimes des personnages, celui de John qui décrit les horreurs de la guerre, celui de Marie, infirmière qui s'occupe des blessure de John Shaw après son retour en Angleterre, de lettres et coupures de journaux.

Il y a aussi la suite, Dracula Redemption qui est tout aussi réussi, et ce qui est intéressant c'est que la frontière entre le Bien et le Mal n'est pas bien définie.

Il devrait normalement y avoir une suite, mais l'auteur travaille sur plusieurs séries en même temps, donc pas de date précise.

Dracula fait son entrée au musée d'orsay

Dans la nuit de la Hammer. Musée d'Orsay, Paris (VIIe). Du 11 au 27 mars


film de terence Fisher en 1957.

Harker se rend dans les Carpathes chez le comte Dracula qui l'a engagé comme bibliothécaire. Mordu par une femme-vampire...

quinze films d'horreur au musée d'Orsay !

"En Angleterre, le fantastique a toujours été un genre populaire, les créatures et les monstres de la littérature du XIXe siècle vont renaître dans les années 1960, grâce à une firme cinématographique, la Hammer, qui en fera sa marque de fabrique.

Hammer Films imaginera en 1957 de ressusciter les monstres et créatures du fantastique gothique, . Terence Fisher en sera l'artisan avec Frankenstein, The Curse of Frankenstein, suivie du Cauchemar de Dracula l'année suivante,

Avec les productions de la Hammer, c'est tout un XIXe siècle romantique, magique, occultiste qui ressuscite avec les romans de Mary Shelley et de Bram Stocker, d'Arthur Conan Doyle et de Robert Louis Stevenson".

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